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" SURVOLER LES GLACIERS "

PROJET MONT BLANC

OCTOBRE 2025

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En mai 2025, nous recevons un message de Brice Venturini.
Ancien triathlète, passionné de montagne, il nous parle de son nouveau projet : décoller en parapente depuis le sommet du Mont Blanc.

Après une blessure qui l’a forcé à mettre un terme à sa carrière sportive, Brice a cherché une nouvelle manière de vivre l’effort et la liberté. Le parapente s’est imposé naturellement : un sport où le corps et le vent ne font plus qu’un, où l’on retrouve ce sentiment d’apesanteur qu’il avait perdu.

Employé chez Equans Switzerland, une entreprise basée à Genève et engagée dans la transition énergétique, Brice a pu compter sur un soutien précieux.
Son entreprise lui a offert une voile de parapente et a décidé d’aller plus loin : soutenir la création d’un film retraçant son ascension, son vol et son message autour d’un thème qui lui tient à cœur — la fonte des glaciers.

Ce n’était pas seulement une aventure personnelle, mais une manière de sensibiliser à l’évolution de la montagne et aux effets du réchauffement.

Brice Venturini
Ascention du mont blanc

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Le 1er octobre, on se met en route.
Brice sait que la météo n’est pas idéale : trop de vent pour espérer décoller du sommet.
Mais on décide d’y aller quand même. Parce que parfois, il faut juste tenter.

Le train du Nid d’Aigle est fermé, alors on part depuis le parking de Bionnassay, sacs chargés, caméras et drone prêts à servir.
L’ascension jusqu’au refuge du Goûter se déroule bien. On filme, on prend des images, on découvre petit à petit les premières neiges de la saison.

Au refuge, l’ambiance est calme.
Ludo commence à ressentir l’altitude : un peu de mal de tête, une fatigue plus lourde que d’habitude. On mange, on rit, on se prépare pour le lendemain.

À 3h du matin, on repart dans le noir, frontales allumées.
Les crampons mordent la glace, le silence est total.
Brice nous dit que les dernières infos météo confirment que le décollage sera impossible.
Mais on continue. On est là, et ça compte.

Plus on monte, plus la fatigue se fait sentir.
Au Dôme du Goûter, Ludo est arrêté par un vrai mal de tête, typique du mal des montagnes.
Le vent souffle fort.
Romain décide de redescendre avec lui.
Un café chaud au refuge adoucit un peu la déception, mais le sentiment reste là : celui d’un sommet manqué, d’un rêve repoussé.

Brice n’aurait pas pu voler de toute façon.
Mais pour nous, le Mont Blanc représentait un objectif symbolique.
Une étape.

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Une semaine passe.
Les refuges ferment.
Le projet semble reporté à l’année suivante.

Mais la montagne réserve toujours des surprises.

Brice nous écrit :

“Les conditions sont parfaites pour ce week-end. On y retourne ?”

Cette fois, Romain décide de remonter avec lui.
Ils partent le samedi, passent la nuit au refuge d’hiver du Goûter.
La nuit est courte, rythmée par les passages d’autres alpinistes.
Mais la motivation est là.

À 5h du matin, ils repartent.
Ludo, resté plus bas dans la vallée, doit filmer le vol depuis la Jonction avec le drone.

Brice et Romain montent, corde tendue, concentrés.
Il y a du monde, mais ils avancent à leur rythme.

À 10h20, ils atteignent le sommet.
Les conditions sont idéales : ciel dégagé, vent stable.
Le moment tant attendu est là.

Brice prépare sa voile, vérifie son matériel, puis s’élance.
Le parapente prend l’air et file au-dessus des glaciers.
Sous lui, les crevasses, les séracs, les reflets bleutés de la glace.
Il glisse jusqu’à Chamonix, porté par une lumière parfaite.

Quelques minutes suspendues.
Un rêve accompli.

Parapentiste au mont blanc
La jonction

Ce projet n’était pas seulement une performance.
C’était une manière de raconter la montagne autrement.
De rappeler que la beauté des glaciers cache aussi leur fragilité.
Brice voulait témoigner, à sa manière, de ce qu’il voit chaque fois qu’il s’élève au-dessus d’eux : les fissures, la glace qui recule, les changements visibles d’année en année.

Chez IMPACT, c’est ce qu’on veut raconter :
des histoires humaines, vraies, où l’aventure et le sens se rejoignent.
Des projets qui inspirent et questionnent à la fois.

Et parfois, tout commence par une simple idée.
Un rêve un peu fou.

Ce projet n’aurait pas été possible sans la confiance de Brice Venturini, le soutien d’Equans Switzerland, et cette passion commune pour la montagne et ce qu’elle représente.

Et tout ça, bientôt, en vidéo.
Une histoire à vivre en images, portée par l’émotion et la grandeur du Mont Blanc.

ECRIT PAR LUDO

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